Lindhal cherche une affectation des ressources de l’économie, plus précisément concernant les biens collectifs soit les biens où le principe de rivalité n’existe pas (deux agents peuvent bénéficier simultanément de l’usage de ce même bien). Cherchant à définir la production optimale au sens parétien, l’équilibre de Lindhal vise à fixer un prix d’équilibre où les quantités d’un même bien public interviennent simultanément dans les fonctions d’utilités de l’ensemble des agents économiques.
Une première solution aurait pu être un système de souscriptions où chaque agent évalue lui-même la valeur du service rendu et cotise en retour. Mais celui-ci n’est pas Pareto-optimal, un individu évalue en fonction de sa propre utilité individuelle non en fonction de l’utilité collective. Si un agent 1 augmente de 2 sa consommation, et un agent 2 la stabilise ; la quantité de biens collectifs à produire est modifier. Une fonction d’utilité individuelle ne tiendra pas compte d’une telle variation dans la fonction d’utilité collective.
La seconde solution réside alors à produire selon les disponibilités des agents économiques. Pour ce faire, Lindhal propose un système de prix personnalisés qui amène chaque agent à payer selon l’utilité marginale qu’une consommation supplémentaire du bien public lui procure. Chacun consommant autant que l’autre. Nous sommes alors dans la logique de la théorie cardinale faisant ainsi l’hypothèse que l’utilité est quantifiable et mesurable, chose irréaliste. Enfin on revient une nouvelle fois à évoquer la rationalité des agents qui chercheront à diminuer leur coût en annonçant une utilité marginale bien plus faible que celle acquise. En outre, est supposée l’idée que les agents sont suffisament solidairaires pour agir dans le sens de leur communauté donc de l’intérêt collectif ; ce qui nous ramène à une possible utilisation d’un tel équilibre dans une politique économique de type planificatrice.
Une première solution aurait pu être un système de souscriptions où chaque agent évalue lui-même la valeur du service rendu et cotise en retour. Mais celui-ci n’est pas Pareto-optimal, un individu évalue en fonction de sa propre utilité individuelle non en fonction de l’utilité collective. Si un agent 1 augmente de 2 sa consommation, et un agent 2 la stabilise ; la quantité de biens collectifs à produire est modifier. Une fonction d’utilité individuelle ne tiendra pas compte d’une telle variation dans la fonction d’utilité collective.
La seconde solution réside alors à produire selon les disponibilités des agents économiques. Pour ce faire, Lindhal propose un système de prix personnalisés qui amène chaque agent à payer selon l’utilité marginale qu’une consommation supplémentaire du bien public lui procure. Chacun consommant autant que l’autre. Nous sommes alors dans la logique de la théorie cardinale faisant ainsi l’hypothèse que l’utilité est quantifiable et mesurable, chose irréaliste. Enfin on revient une nouvelle fois à évoquer la rationalité des agents qui chercheront à diminuer leur coût en annonçant une utilité marginale bien plus faible que celle acquise. En outre, est supposée l’idée que les agents sont suffisament solidairaires pour agir dans le sens de leur communauté donc de l’intérêt collectif ; ce qui nous ramène à une possible utilisation d’un tel équilibre dans une politique économique de type planificatrice.
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